Sur « L’espèce humaine » de Robert Antelme

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Par une telle lecture, nous commençons de comprendre que l’homme est l’indestructible et que pourtant il peut être détruit. Cela arrive dans le malheur. Dans le malheur, nous nous approchons de cette limite où, privés du pouvoir de dire « Je », privés aussi du monde, nous ne serions plus que cet Autre que nous ne sommes pas.… Lire la suite.....

La pancarte et la chambre à gaz

Peut-on dire: l’horreur domine à Auschwitz, le non-sens au Goulag?  L’horreur, parce que l’extermination sous toutes formes est l’horizon immédiat, morts-vivants, parias, musulmans: telle est la vérité de la vie. Cependant, un certain nombre résistent; le mot politique garde un sens; il faut survivre pour témoigner, peut-être pour vaincre.… Lire la suite.....