« Je ne pensais jamais pouvoir, ni devoir écrire un essai philosophique à partir de la Shoah. Désignée comme un impensable, comme un irreprésentable par les historiens, il semble incongru de solliciter le concept pour penser l’impensable génocide.
Pourtant, si l’on pense la Shoah comme problème, et non plus comme événement, le problème ne devient plus une impasse mais le fondement à partir duquel la pensée philosophique se fait jour et s’exige comme une clairière qui n’enlève rien à l’obscurité du bois.… Lire la suite.....