La question de la chambre à gaz comme objet philosophique

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Didier Durmarque, philosophe, auteur d’une récente Philosophie de la Shoah, propose un séminaire qui pose une approche philosophique de la Shoah qui interroge les structures de la modernité et cherche à dépasser le piège de la concurrence victimaire.

MERCREDIS 1er JUIN & 15 JUIN À 19H
Penser la Shoah : la question de la chambre à gaz comme objet philosophique
Proposé par le Mémorial de Caen et l’Université Populaire de Caen.

Au programme de ces deux séances :
Il s’agit de penser une phénoménologie de la chambre à gaz qui intègre la chambre à gaz comme objet philosophique. Nous traverserons les approches des Sonderkommandos, de Levi, d’Arendt, d’Agamben, de Heidegger, de Milner ainsi que celle d’Anders.

Le 1er juin, Didier Durmarque recevra comme invitée Karine Hoffman, peintre qui travaille sur l’irreprésentable de la chambre à gaz.


Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.

Sous réserve de modifications/annulations.

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Karine Hoffman: To Nie Moja Wina!

Publié par

Didier Durmarque

Didier Durmarque est professeur de philosophie en Normandie. Il est l’auteur de plusieurs livres, dont la plupart sont des approches de la question de la Shoah. Moins que rien (2006), La Liseuse (2012) étaient des approches littéraires et romanesques de la question du néant, de l’identité et de la culture à partir de la Shoah. Philosophie de la Shoah (2014) Enseigner la Shoah: ce que la Shoah enseigne (2016) et Phénoménologie de la chambre à gaz (2018) constituent une tentative de faire de la Shoah un principe de la philosophie.

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