La question de la technique à partir de la Shoah et la chambre à gaz comme objet philosophique

Mémorial de Caen,
Séminaire « Penser la Shoah »
Mercredi 20 avril, 19h, entrée libre.

La question de la technique à partir de la Shoah et la chambre à gaz comme objet philosophique.

Comment penser le statut de la technique à partir de la Shoah?
La technique, dans son essence, n’est-elle pas plus que le « renversement de la raison », mais plus fondamentalement « autonomie »?
Cette autonomie ne conduit-elle pas à penser la chambre à gaz comme objet philosophique ?
Quelle serait la méthode philosophique qui permettrait de penser l’indicible et l’impensé autour de la chambre à gaz?
Comment penser la spécificité du programme T4, du génocide juif et tzigane?

Publié par

Didier Durmarque

Didier Durmarque est professeur de philosophie en Normandie. Il est l’auteur de plusieurs livres, dont la plupart sont des approches de la question de la Shoah. Moins que rien (2006), La Liseuse (2012) étaient des approches littéraires et romanesques de la question du néant, de l’identité et de la culture à partir de la Shoah. Philosophie de la Shoah (2014) Enseigner la Shoah: ce que la Shoah enseigne (2016) et Phénoménologie de la chambre à gaz (2018) constituent une tentative de faire de la Shoah un principe de la philosophie.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.