Le petit garçon d’Izieu

Un petit garçon d’Izieu à qui l’on demandait pourquoi il allait se mettre dans la niche du chien répondit qu’on ne déportait pas les chiens.

L’enfant et le génocide, témoignages sur l’enfance pendant la Shoah, page XLII.

 

Publié par

Didier Durmarque

Didier Durmarque est professeur de philosophie en Normandie. Il est l’auteur de plusieurs livres, dont la plupart sont des approches de la question de la Shoah. Moins que rien (2006), La Liseuse (2012) étaient des approches littéraires et romanesques de la question du néant, de l’identité et de la culture à partir de la Shoah. Philosophie de la Shoah (2014) Enseigner la Shoah: ce que la Shoah enseigne (2016) et Phénoménologie de la chambre à gaz (2018) constituent une tentative de faire de la Shoah un principe de la philosophie.

2 réflexions au sujet de « Le petit garçon d’Izieu »

  1. Bonjour,

    Votre démarche est très intéressante. Je voudrais vous signaler mon récit ďhistoire familiale « Maman Grète » paru chez Edilivre. Cf. Facebook @MamanGrete. Merci et excellente année 2018.

  2. Merci pour vos articles. Je reste sans voix devant cette phrase du petit garçon d’Izieu …
    Plasticienne engagée, j’ai réalisé une série de photographies brodées intitulée « Lettres mortes » sur l’histoire de Marie Jelen, enfant déportée. Un écho à votre travail.
    Une partie de cette série fut exposée à Chambéry en Savoie et à Uriage en Isère et j’espérerais cette exposition dans un lieu de mémoire.

    > A découvrir : https://1011-art.blogspot.fr/p/enfant-de-parents.html
    > Et aussi : https://1011-art.blogspot.fr/p/lettre.html

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