Les Sonderkommandos avaient un kapo juif, ou peut-être pas un kapo, mais un grand bonhomme jouissant de l’autorité d’un homme instruit dans la Torah, que tout le monde tenait pour un maître, un chef, solide comme un roc.
(J’imaginai un homme sombre, baraqué, un « roc de sécurité », le plus souvent silencieux et taciturne, mais répondant aux questions de ceux qui le vénéraient et séjournaient avec lui dans la ténèbre et le la lueur du feu des crématoires.)
Ils lui posèrent ces questions, aussi, et cette question-là, alors, à l’époque même de la Métropole de la Mort dans sa « gloire » – « Où est Dieu? … Lire la suite.....